Ma douce et gentille bête

Les canapés, qui ne se soucient pas de l'endroit où ils habitent, ont tellement leur influence sur l'espace

En passant devant la galerie

Texte: Vasily Lifanov

Photo: Dmitry Revnivtsev

Journal: N6 (40) 2000

Au début était la Parole - la parole du client. Il a fallu un canapé pour: a) se séparer de la pièce de la cheminée et de la télévision; b) battre le podium déjà construit; c) en cachant les tiroirs et d) à une distance de 1,74 mètre de l'écran de télévision et de 2,30 mètres du foyer. L’architecte Sergey Erofeev et le décorateur Oleg Fedorov voulaient fabriquer un objet qui, en principe, ne se soucie pas de savoir où il va "vivre", tant son influence sur l’espace sera grande. Et en effet: l'unique trait de la silhouette «est diffusé» du canapé aux murs et au plafond, va et vient et le suit, nos yeux «flottent» constamment autour du canapé, «plongeant» dans celui-ci et «émergeant», BURNING ... comme un grand animal, offrant gentiment à tout le monde de s’asseoir sur son dos flexible. Ce qui, selon l'auteur, est aussi un repère. Le canapé de la cuisine est la "soeur" du canapé du salon. Sur "ses" formes serrées, cinq personnes entrent facilement, et elles sont assises à une table, sans rang ni hiérarchie. Ils aiment tellement que personne ne veuille passer à une chaise individuelle. Par conséquent, les chaises dans la cuisine nema!

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